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Nusser, K., Riedl, M., Ritter, T. (Eds.) (2008). Politikos - Vom Element des Persönlichen in der Politik. Festschrift für Tilo Schabert zum 65. Geburtstag. Duncker & Humblot. https://doi.org/10.3790/978-3-428-52356-6
Nusser, Karl-Heinz; Riedl, Matthias and Ritter, Theresia. Politikos - Vom Element des Persönlichen in der Politik: Festschrift für Tilo Schabert zum 65. Geburtstag. Duncker & Humblot, 2008. Book. https://doi.org/10.3790/978-3-428-52356-6
Nusser, K, Riedl, M, Ritter, T (eds.) (2008): Politikos - Vom Element des Persönlichen in der Politik: Festschrift für Tilo Schabert zum 65. Geburtstag, Duncker & Humblot, [online] https://doi.org/10.3790/978-3-428-52356-6

Format

Politikos - Vom Element des Persönlichen in der Politik

Festschrift für Tilo Schabert zum 65. Geburtstag

Editors: Nusser, Karl-Heinz | Riedl, Matthias | Ritter, Theresia

Beiträge zur Politischen Wissenschaft, Vol. 149

(2008)

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Abstract

Professor Dr. Dr. h. c. mult. Tilo Schabert beging im November 2007 seinen 65. Geburtstag. Aus diesem Anlass haben ihm renommierte Kollegen aus Europa, Amerika und Asien eine Festschrift zugeeignet. Wie Schabert selbst befassen sie sich mit dem Zusammenhang zwischen dem Persönlichen und dem Politischen, einem Thema, das von den systemtheoretisch orientierten bzw. auf empirische Exaktheit schwörenden Richtungen der Politischen Wissenschaften vernachlässigt wird. Politische und philosophische Theorien treten in einen fruchtbaren Dialog mit der Regierungslehre, wobei insbesondere das Verhältnis von Person und Institution in einem neuen Licht erscheint. Der Band enthält neben theoretischen Reflexionen zum Thema eine Reihe von Einzelstudien. Ihr Gegenstand sind Männer und Frauen der großen Politik, aber auch die Faszination des Politischen, wie sie Dichter und Denker erfahren haben.

Table of Contents

Section Title Page Action Price
Vorwort der Herausgeber 5
Inhaltsverzeichnis 9
I. Tilo Schaberts Politische Wissenschaft 13
Jean Musitelli: Dans l’atelier de la politique mondiale 17
Dan Avonon: Autocracy: The Schabertian Way 23
I. Autocrat and Autocracy 24
II. Schabert’s Autocrat 28
III. Schabert’s Autocrat in Relation to Scholarly Convention 31
1. Regime Type 32
2. Style of Governance 33
3. Ethics 37
IV. Schabert’s Autocrat: Concluding Observations 40
Joseph Hanimann: Gründungshoheit, Deutungshoheit: Städtebau und Politik: Eine Spiegelbetrachtung 43
II. Platonlektüren 49
Mariapaola Fimiani: Das Zeitalter des Kronos 67
I. 67
II. 71
III. 77
Karl-Heinz Nusser: Platon über Gott oder Götter 83
I. Das Fromme und das Gottgeliebte 84
II. Die Folgen des göttlichen Gutseins für den Menschen 89
III. Platons politische Religion 91
Barbara Zehnpfennig: Der platonische Staatsmann und seine Wiederbelebung im amerikanischen Neokonservatismus 95
I. Ein aktuelles Dilemma 95
II. Der platonische Politikos 99
III. Eine neokonservative Renaissance der Antike? 105
IV. Eine Bilanz 111
Peter Nitschke: Der „nackte Mensch“ – oder – Wie wird man Politiker? 113
I. Platons Politische Philosophie 113
II. Das dihairetische Verfahren 114
III. Die Baukunst des Politikers 116
IV. Der nackte Mensch und die politische Herrschaft 120
V. Die epistemologischen Voraussetzungen in der Höhle 123
VI. Die Höhle als sicherer Lebensort 126
VII. Der wahre Politiker 129
Manfred Henningsen: The Dream Worlds of Tyrants: The Teachings of Socrates’ Students 131
I. The Legacy of Ancient Tyrants 134
II. Modern Eros and Power 137
III. The Control of Gods and Men 142
Eiko Hanaoka(-Kawamura): Zen and Politics – Hoping to Arrive at Indra’s Net 147
I. ‘A Philosopher-statesman’ in Platonic Idealism 148
II. Politics in the Absolute Infinite Openness in Zen 151
III. Philosopher – Politics and Indra’s Net 155
III. Person und Institution 159
Chantal Delsol: Le gouvernant démocratique, portrait philosophique 179
I. Une existence tronquée 179
II. Ses «amis» 182
III. La brume de la gloire 185
David Walsh: The Unattainability of what we Live Within: Liberal Democracy 189
I. Founding as Re-Founding 194
II. Democracy as Eschatology 198
III. From Democracy as Concept to Democracy as Existence 201
Giuseppe Acocella: Concertazione sociale e rappresentanza del lavoro: L’evoluzione contemporanea dei profili istituzionali 205
I. La rappresentanza del lavoro nella concezione corporativa: il dibattito sulla „concertazione istituzionale“ tra XIX e XX secolo 205
II. Il riconoscimento della rappresentanza del lavoro tra regimi totalitari e parlamenti democratici 209
III. La rappresentanza del lavoro nei sistemi democratico-costituzionali tra movimento ed istituzioni 212
IV. Considerazioni conclusive 215
Aaron Powell: People and Power: Local Government Reform in England and its Implementation in the London Borough of Redbridge, 2002–2006 217
I. Introduction 217
II. The Legislative Background: Local Government Act 2000 218
III. The Redbridge Story 221
IV. What Went Wrong? 224
V. What of Directly-Elected Mayors? 228
1. Take-up of the Mayoral Options 229
2. The Role of the Directly-Elected Mayor in English Local Government 230
VI. Conclusion 232
IV. Das Politische und das Persönliche – Philosophische Betrachtungen 235
Elisabetta Barone: Il fantasma della politica. Il potere tra desiderio e godimento 251
I. Il processo di costituzione del potere attraverso la rappresentazione del Grande Altro 252
II. Il potere tra organizzazione simbolica e apparizione spettrale 257
III. La fiction del potere e lo spettro della contingenza 260
IV. La trasgressione intrinseca e il fantasma del marginale 261
Alain Juranville: L’actualité de la philosophie: Inconscient, capitalisme et fin de l’histoire 265
I. L’acte politique de la philosophie tel qu’il parvient aujourd’hui à son accomplissement, par l’institution du capitalisme 266
1. L’acte politique de la philosophie est, en lui-même, rupture 266
a) L’idée d’une telle rupture résulte de l’affirmation de l’existence et, a fortiori, de celle de l’inconscient 266
b) Mais il faut bien voir ce avec quoi rompt alors la vraie rupture: c’est le système sacrificiel – ou paganisme 267
c) Et la rupture ne peut donc s’accomplir que dans l’acte politique par excellence qu’est la révolution 268
2. L’acte politique de la philosophie, qui est en lui-même rupture, doit s’accomplir, quant à lui, comme histoire, où prend place la révolution 269
a) L’idée de l’histoire résulte de l’affirmation de l’existence et de l’inconscient 269
b) Certes la pensée philosophique qui affirme l’existence commence par rejeter l’histoire (le savoir, la philosophie) – ce en quoi elle est rejointe par le discours psychanalytique 269
c) Et pourtant la pensée philosophique qui affirme l’existence peut, si elle envisage, de son point de vue à elle, le discours psychanalytique, proclamer l’histoire (et le savoir, et la philosophie). Ce que je propose 270
3. L’histoire proclamée par la philosophie ne peut d’abord qu’être conçue faussement, comme abolissant toute institution, et comme rejetant a fortiori toute institution du capitalisme. Et l’on est dès lors conduit inévitablement à la catastrophe 271
a) L’idée d’une histoire abolissant toute institution, et rejetant notamment, par la révolution, l’institution du capitalisme, s’impose d’abord 271
b) Certes, dirai-je avec Marx, le capitalisme est le prolongement, dans le monde ouvert par l’exigence d’histoire, du système sacrificiel 272
c) Mais, dirai-je contre Marx, vouloir abolir toute institution, et précisément vouloir abolir, par la révolution, le capitalisme, ne peut mener qu’à la catastrophe 273
4. L’histoire ne peut en venir qu’ensuite à être conçue en vérité, comme laissant toute sa place à l’institution, et ultimement à celle du capitalisme 274
a) L’idée d’une histoire donnant sa place à l’institution, et ultimement à celle du capitalisme, s’impose alors 274
b) Certes, comme je l’ai dit avec Marx, le capitalisme est le prolongement du système sacrificiel, mais, ajouté-je maintenant au-delà de Marx, comme aliénation qui peut être dépassée, et cela dans le cadre du droit, où s’effectue l’institution du capitalisme 275
c) Et l’institution du capitalisme est donc bien ce sur quoi débouche la vraie révolution, ce que doit effectuer aujourd’hui la philosophie, et ce qui marque la fin de l’histoire qu’elle a voulue 275
5. Ainsi s’accomplit aujourd’hui, par l’institution du capitalisme, l’acte politique voulu par la philosophie depuis son avènement en Grèce 276
a) L’idée de l’acte politique est impliquée d’emblée par la philosophie 276
b) Certes la philosophie doit bien vite reconnaître la réalité du refus primordial auquel elle se heurte dans sa visée d’acte politique – et elle l’a fait là aussi dès la Grèce 277
c) Mais la philosophie ne peut accomplir son acte qu’aujourd’hui 278
II. Comment l’acte politique de la philosophie a pu, dans l’histoire, parvenir peu à peu à cet accomplissement 279
1. L’époque antique 279
a) La rupture s’effectue alors par l’avènement de la philosophie 279
b) Une telle rupture, par l’avènement de la philosophie, est fixée socialement dans l’institution de l’Etat 280
c) Une telle rupture, ainsi fixée institutionnellement, ne conduit néanmoins pas à la fin de l’histoire 280
2. L’époque médiévale 281
a) La rupture s’effectue alors par le Sacrifice du Christ 281
b) Une telle rupture, par le Sacrifice du Christ, est fixée socialement dans l’institution de l’Eglise 282
c) Une telle rupture, là non plus, ne conduit néanmoins pas à la fin de l’histoire 283
3. L’époque moderne 284
a) La rupture s’effectue alors par la réapparition, en propre, de la philosophie 284
b) Une telle rupture, par la réapparition en propre de la philosophie, est fixée socialement dans l’institution de la science 284
c) Mais cette rupture, fixée dans l’institution de la science, et qui se veut elle-même comme telle, ne conduit toujours pas à la vraie fin de l’histoire 285
4. L’époque contemporaine 286
a) La rupture s’effectue par la philosophie à nouveau, pour autant qu’elle fixe la finitude radicale, mais, ce faisant, elle ne peut alors que se retourner contre elle-même 286
b) Une telle rupture, par la philosophie à nouveau, mais pour autant que, fixant la finitude radicale, elle se retourne contre elle-même, est fixée socialement dans l’institution de la démocratie 287
c) Mais cette rupture, fixée dans l’institution de la démocratie, ne conduit pas à la fin de l’histoire – et bien plutôt à la catastrophe la plus absolue 288
5. L’époque actuelle 289
a) La rupture s’effectue encore une fois par la philosophie, mais cette fois-ci parce qu’elle pose, avec la finitude radicale, l’autonomie réelle, et parce qu’elle passe outre à son retournement contre elle-même 289
b) Une telle rupture est fixée socialement dans l’institution du capitalisme 290
c) Et cette rupture, fixée socialement par l’institution du capitalisme, conduit à la fin de l’histoire. Accomplissement de l’acte philosophique 291
Stephan Sattler: Vom Versagen der Heilslehren und ihrer Beständigkeit 293
Roberto Racinaro: Wissenschaft, Ethik, Politik: unabhängige Sphären 305
Giuseppe Cantillo: Eine erweiterte Vernunft: Ernesto De Martino und der Gedanke von der Krise 313
V. Das Politische und das Persönliche – Studien 325
Jürgen Gebhardt: Abraham Lincoln – Civil Theology and the Political Theory of Republican Governance 351
I. Who is the Real Lincoln? 351
II. A House Devided Against Itself 362
III. Lincoln and the Crisis: The Search for the Moral Foundations of Republican Government 369
Pierre Manent: De Gaulle, ou le sens de la responsabilité nationale 377
Albrecht Zunker: Zwei Generale – eine historische Episode 387
I. Der Weg: Vom Hotel Majestic zum Schloss von Fontainebleau 389
II. „Invasion 1944“: Unvergessene Unverschämtheit? 393
III. Demonstrative Kampfansagen 395
IV. NATO-Strategie: Gegenspieler 396
V. Doch im Zentrum: Wider den Besatzungsgeneral? 398
VI. Vom Kanzler der deutsch-französischen Freundschaft geopfert 400
VII. Tröstung: Neue Ämter 402
Gernot Sittner: Der Reporter und die Kunst der wahren Könige: Anmerkungen zur journalistischen Darstellung des Persönlichen in der Politik 403
I. Zhou En-lai – der moderne Konfuzius 408
II. Makarios III. – die Glückseligkeit der Macht 410
III. Ludwig Erhard – der Überzeugungstäter 413
IV. Herbert Wehner – der heimliche Herrscher 414
Barry Cooper: Recollecting the Personal in Voegelin’s Political Science 417
Bernd Henningsen: Der politische Henrik Ibsen 427
I. Vorbemerkung: Erinnern – Wiederholen – Durcharbeiten vor Freud 427
II. Von der Herrschaft I: Die Pastoren 430
III. Die Doppelmoral der Epoche: Osvald 431
IV. Von der Herrschaft II: Der Kammerherr 433
V. Das soziale Gesicht Norwegens: Engstrand 434
VI. Soziale Abgründe: Frau Alving 435
VII. Gesellschaft und Emigration: Henrik und Regine 436
VIII. Die Frauenfrage: Regine und Nora zum Beispiel 437
IX. Der norwegische Spießbürger 438
X. Gespenster und Wiedergänger 439
XI. Familienfreuden 442
XII. Geschlechterszenen 443
XIII. „Die letzte große Frauengestalt“ 445
XIV. Die Flucht aus der Wirklichkeit 447
Hélder Godinho: Vergílio Ferreira et la Politique 449
Athanasios Moulakis: De Vera Nobilitate: Memory and the Dignity of the Statesman in the Poetry of Constantin Kavafy 457
Davíd Carrasco: Imagining a Place for Aztlan: Chicanismo and the Aztecs in Art and Resistance 463
I. The Contested Presence of Mexicans in the United States 464
II. Chicanismo and the Search for Aztlan 468
III. Chicano Uses of Aztec Imagery 473
1. The Sacred Plants of Origin 473
2. The Theme of Death and Suffering 475
3. Search for the Sacred Mother 476
4. The Hopeful Skeptic of Aztlan 477
VI. Anhang 481
Tilo Schabert. Bibliographie – Schriftenverzeichnis 483
Autorenverzeichnis 495
Tabula Gratulatoria 497